There is something that has always amazed me:
The ability of administration to be absolutly impossible to understand if you're not a member of the staff (and even them don't seem really sure of what they're doing).
I have been studying in the same university for 6 years now. And every year, there is a problem with my application.
This year is particularly complicated, because I am studying 2 different things in 2 different schools: I'm a second year in bachelor degree in Chinese in a Parisian University and a first year of Master degree in Marketing in a Parisian Business school.
My Master degree is a part time degree: I work in a company during 2 weeks and then I go to school during a week.
So I have to explain to the University that I won't go to class, because I'm working. but I have to be registered on the student list, so I can go to the finals! And it seems awfully hard to get that status.
I mean, come on! I'm not the only one in this case, am I?
The worst of it is that the administration office is only open some days, from 10am to 12am or from 2 pm to 5pm. Which means that I have to way to go there and explain that I can't go to class because of my job, BECAUSE I'M WORKING!
the snake bit is tail and I'm starting to wonder if I will ever be able to get my student card!
Happily we are not in the 15th century and I can send emails!
Now all I have to do is to pray all the gods I know, new or old, that they will accept my application!
samedi 19 octobre 2013
jeudi 17 octobre 2013
Where are you from?
I first started this blog to present the articles and texts I wrote in class to my classmates. I gave them the adress and thought that only them came reading. Or not, because, I must admit that my blog is not what we could call famous.
Yesterday I looked at the stats, and saw that something like half of the page seen are read by people abroad.
This is great! I like the idea of sharing what made us (me and my classmates) laught with people all aroud the world. But I also found it a bit weird because I'm writting everything in French so I suppose that you don't understand much of what I was talking about.
So I starder to wonder what made you come here. Is it the images? Or are people studying French just to be able to read my articles (I'm not very fond of modesty). Or maybe It's because I filled my blog adress on my Nanowrimo Profil.
Whatever. So maybe I'll just start to write in English. My english is not perfect, but I suppose that I'm still understandable (and that the best way to improve it is to write it). I have a bachelor degree in english literature, history and translation so, in theory I'm suppose to be fluent, but well... let's be honnest: My english is far from perfect. So if this message is full of mistakes, please, let me know (nicely, I don't need people to tell me I stupid only because I misspelled a word)
I was very surprised when I saw that I was read by people in India, in Alaska, in the USA.
So I started to wonder: where are you from? How did you find that blog? And what do you think about it? Any piece of advice is welcome.
mercredi 16 octobre 2013
Pendant ce temps là.
Il fait gris, froid et humide et l'humeur est un peu dans les chaussettes. Par les grandes baies vitrées de là où je travaille, tout ce que je vois, c'est Paris sous la pluie, et on ne peut pas dire que ce soit très réjouissant.
Alors, pour tromper l'ennuie, je commence à réfléchir à ce que je vais bien pouvoir écrire pour la prochaine édition du Nanowrimo.
L'affaire se révèle compliquée car le concours commence dans deux petites semaines à peine et je n'ai pas fini de travailler sur l'histoire que j'ai commencé l'année dernière. Comme dit précédement, j'ai l'espoir fou de réussir à la finir avant le 1er Novembre. Mais cela ne laisse pas beaucoup de place à l'imagination et au rêve dont j'ai besoin avant de me lancer dans une nouvelle histoire.
Une personne dont je ne révèlerai pas l'identité ici, m'a fait remarquer, voilà quelques mois, que j'ai tendance à n'écrire que sur des choses proches de moi et m'a conseillé de me lancer dans la rédaction d'un texte qui mettrait en scène quelque chose de radicalement différent.
Dans l'idée, moi je veux bien, mais je ne suis pas maître de mon imagination, ce qui rend la création d'un tel texte, plus qu'hasardeuse.
Ainsi, je m'interroge: quelle nécessité y-a-t il à m'éloigne de ce terrain connu? Y a t il quelque honte que ce soit à n'écrire que ce sur quoi l'on est à l'aise?
Je ne me considère pas comme un auteur ou un écrivain. J'écris seulement des histoires, et il se trouve que la dernière en date est assez aboutie. Je n'ai pas de don véritabe pour l'écriture. Ce n'est pas de la modestie, c'est du réalisme. J'écris ce que j'imagine. Et j'imagine parfois des choses qui, une fois sur le papier sont plutôt cools. Devrais-je pour autant me forcer à écrire sur des thèmes qui me sont inconnus? Et ce, pour satisfaire une sorte de mythe qui veut qu'un bon écrivain soit capable d'écrire de tout, bien.
Faut il donc absolument correspondre à ce critère pour écrire un roman?
Alors, pour tromper l'ennuie, je commence à réfléchir à ce que je vais bien pouvoir écrire pour la prochaine édition du Nanowrimo.
L'affaire se révèle compliquée car le concours commence dans deux petites semaines à peine et je n'ai pas fini de travailler sur l'histoire que j'ai commencé l'année dernière. Comme dit précédement, j'ai l'espoir fou de réussir à la finir avant le 1er Novembre. Mais cela ne laisse pas beaucoup de place à l'imagination et au rêve dont j'ai besoin avant de me lancer dans une nouvelle histoire.
Une personne dont je ne révèlerai pas l'identité ici, m'a fait remarquer, voilà quelques mois, que j'ai tendance à n'écrire que sur des choses proches de moi et m'a conseillé de me lancer dans la rédaction d'un texte qui mettrait en scène quelque chose de radicalement différent.
Dans l'idée, moi je veux bien, mais je ne suis pas maître de mon imagination, ce qui rend la création d'un tel texte, plus qu'hasardeuse.
Ainsi, je m'interroge: quelle nécessité y-a-t il à m'éloigne de ce terrain connu? Y a t il quelque honte que ce soit à n'écrire que ce sur quoi l'on est à l'aise?
Je ne me considère pas comme un auteur ou un écrivain. J'écris seulement des histoires, et il se trouve que la dernière en date est assez aboutie. Je n'ai pas de don véritabe pour l'écriture. Ce n'est pas de la modestie, c'est du réalisme. J'écris ce que j'imagine. Et j'imagine parfois des choses qui, une fois sur le papier sont plutôt cools. Devrais-je pour autant me forcer à écrire sur des thèmes qui me sont inconnus? Et ce, pour satisfaire une sorte de mythe qui veut qu'un bon écrivain soit capable d'écrire de tout, bien.
Faut il donc absolument correspondre à ce critère pour écrire un roman?
mardi 15 octobre 2013
Que s'est il passé?
Diantre! Cela fait au moins une éternité que je ne suis pas venue ici.
Il faut avouer que je n'ai plus vraiment le temps. Je n'ai ceci dit jamais été très productive. Mais depuis la fermeture de Charly, Il m'a été assez difficile d'écrire.
Enfin, oui et non.
J'ai écris un bouquin. Presque. En fait je suis encore en train de l'écrire et c'est probablement une des raisons qui fait que je n'écris plus ici: je suis trop occupée à m'arracher les cheveux sur mon bouquin.
Mais j'ai toujours la volonté de venir ici une fois de temps en temps.
J'ai même remarqué que des gens passaient. *agite les bras*
Alors je me dis qu'il est peut être temps de s'y remettre. J'aurais bientôt fini mon roman, du moins je l'espère, et j'aurais donc du temps à vous consacrer.
D'autant plus que je débute une nouvelle vie: la vie PROFESSIONELLE.
Hey ouais! Je travaille. J'ai un boulot, un (maigre) salaire, un boss, des collègues.
Je découvre les joies de la vie en entreprise. Et croyez moi, ça en fait des choses à raconter.
Il faut avouer que je n'ai plus vraiment le temps. Je n'ai ceci dit jamais été très productive. Mais depuis la fermeture de Charly, Il m'a été assez difficile d'écrire.
Enfin, oui et non.
J'ai écris un bouquin. Presque. En fait je suis encore en train de l'écrire et c'est probablement une des raisons qui fait que je n'écris plus ici: je suis trop occupée à m'arracher les cheveux sur mon bouquin.
Mais j'ai toujours la volonté de venir ici une fois de temps en temps.
J'ai même remarqué que des gens passaient. *agite les bras*
Alors je me dis qu'il est peut être temps de s'y remettre. J'aurais bientôt fini mon roman, du moins je l'espère, et j'aurais donc du temps à vous consacrer.
D'autant plus que je débute une nouvelle vie: la vie PROFESSIONELLE.
Hey ouais! Je travaille. J'ai un boulot, un (maigre) salaire, un boss, des collègues.
Je découvre les joies de la vie en entreprise. Et croyez moi, ça en fait des choses à raconter.
jeudi 1 août 2013
Notre Destin est en marche!
TADADA! *musique épique*
Non, en fait, je ne suis pas du tout là pour vous parler de la fin du monde, de 2012 (fin du monde d'ailleurs reporté à 2114). Non, je viens vous parler d'une chose terrible, d'une chose atroce, d'une chose pénible: la fin de l'année scolaire!
Ouais Ouais je sais, il y en a pleins qui voient ça plutôt d'un bon oeil et qui espèrent que leur calvaire va enfin prendre fin: la fin des partiels, la fin des concours, savoir dans quelle école on va, etc etc. C'est une période où on voit notre vie avancer, car même si oui, elle passe tout les jours un petit peu, il y a des moments où le phénomène est plus flagrant, et généralement c'est en juin (ou dans la période mai/juin/juillet). C'est dans cette période que l'on passe des concours, que l'on obtient des diplômes, que l'on sait vers quoi on se dirige pour l'avenir. C'est une période faite de stress et de joie (ou pas).
Ou pas? Ouais, Carrément pas même. A la fin de cette année, mes amis et moi même obtiendrons notre licence (du moins, on l'espère) et notre petit groupe va éclater. On en avait déjà égarés quelques uns l'année dernière, entre ceux qui redoublent, ceux qui changent de voie, mais on avait réussi à garder un petit noyau assez soudé. Or là, ce petit noyau va se disloquer. Je change de département d'études, Mr Fé a été pris dans une très bonne école, La Breto-goth et le Padawan entreront en 3ème année, et ainsi de suite.
Nous vivons tous de grands moments au début de l'été: On reçoit des diplômes, on change d'école, signes que l'on a encore franchi une étape de plus vers l'âge adulte. Mais parfois cela ne se fait pas sans heurt.
Personnellement, j'ai adoré mes années de Licence dans cette grande famille de fous qu'est Charly, mais aujourd'hui, savoir que nous allons être séparer me pince le coeur, car quelque part, je ne me sens pas prête du tout à monter une marche de plus vers l'âge adulte.
J'espère de tout coeur que tout ceux avec qui j'ai passé de si bon moment trouveront leur voie, et que 1, la Force les accompagne, 2, le Sort leur soit favorable, 3, que tout se passera bien pour eux, parce qu'ils vont me manquer.
Mon admiration pour le talent de certains ne s'estompera probablement jamais et le souvenir des cours au derniers rangs continuera de me faire sourire, mais ce ne sera plus vraiment pareil.
A vous tous: prenez soin de vous.
Non, en fait, je ne suis pas du tout là pour vous parler de la fin du monde, de 2012 (fin du monde d'ailleurs reporté à 2114). Non, je viens vous parler d'une chose terrible, d'une chose atroce, d'une chose pénible: la fin de l'année scolaire!
Ouais Ouais je sais, il y en a pleins qui voient ça plutôt d'un bon oeil et qui espèrent que leur calvaire va enfin prendre fin: la fin des partiels, la fin des concours, savoir dans quelle école on va, etc etc. C'est une période où on voit notre vie avancer, car même si oui, elle passe tout les jours un petit peu, il y a des moments où le phénomène est plus flagrant, et généralement c'est en juin (ou dans la période mai/juin/juillet). C'est dans cette période que l'on passe des concours, que l'on obtient des diplômes, que l'on sait vers quoi on se dirige pour l'avenir. C'est une période faite de stress et de joie (ou pas).
Ou pas? Ouais, Carrément pas même. A la fin de cette année, mes amis et moi même obtiendrons notre licence (du moins, on l'espère) et notre petit groupe va éclater. On en avait déjà égarés quelques uns l'année dernière, entre ceux qui redoublent, ceux qui changent de voie, mais on avait réussi à garder un petit noyau assez soudé. Or là, ce petit noyau va se disloquer. Je change de département d'études, Mr Fé a été pris dans une très bonne école, La Breto-goth et le Padawan entreront en 3ème année, et ainsi de suite.
Nous vivons tous de grands moments au début de l'été: On reçoit des diplômes, on change d'école, signes que l'on a encore franchi une étape de plus vers l'âge adulte. Mais parfois cela ne se fait pas sans heurt.
Personnellement, j'ai adoré mes années de Licence dans cette grande famille de fous qu'est Charly, mais aujourd'hui, savoir que nous allons être séparer me pince le coeur, car quelque part, je ne me sens pas prête du tout à monter une marche de plus vers l'âge adulte.
J'espère de tout coeur que tout ceux avec qui j'ai passé de si bon moment trouveront leur voie, et que 1, la Force les accompagne, 2, le Sort leur soit favorable, 3, que tout se passera bien pour eux, parce qu'ils vont me manquer.
Mon admiration pour le talent de certains ne s'estompera probablement jamais et le souvenir des cours au derniers rangs continuera de me faire sourire, mais ce ne sera plus vraiment pareil.
A vous tous: prenez soin de vous.
lundi 15 août 2011
"T'façon le bronzage, c'est pour les paysans"
Je suis depuis hier soir dans le sud de la France, du côté de Toulon. Quelle joie de partir en vacances!
Bien évidement, je suis au bord de la mer!
Et qui dit bord de la mer implique plage, et donc INSTANT PUTASSIER!
1. La plage c'est sympa, mais ce serait mieux s'il y avait moins de monde!
Expliquez moi pourquoi il y a autant de monde sur les plages de la côte d’azure! Non mais sans déconner! Galérer pendant 15 minutes pour trouver une place pour étendre sa serviette, c'est juste insupportable!
Mais ce n'est pas tant le monde qui est gênant, mais le fait d'être entouré de gens qui font du bruit, qui soulèvent du sable et qui ont l'air d'en vouloir personnellement à votre tranquillité.
En première place parmi les chiants: LES ENFANTS! Ouais, moi aussi j'ai fais des châteaux de sables quand j'étais toute petite (j'ai reconstitué Versailles et ses jardins avec mon frère) mais il ne me serait jamais venu à l'idée de jeter du sable autour de moi pour faire cher les gens autours!
2. A toi, jeune, qui t'endort au soleil dans ton maillot griffé et avec tes lunettes de soleils hors de prix, sache que "LE BRONZAGE, C'EST POUR LES PAYSANS!"
Non non, il n'y a rien de classe à revenir brun-cramé de tes vacances, car cela ne signifie pas "j'ai assez de thune pour partir au soleil" mais plutôt "quand j'aurais 40 ans, j'aurais un cancer de la peau!"
(Souvenez vous des siècles passés: les nobles cultivaient leur teint pale, signe qu'ils n'avaient pas à travailler au champs)
Non, s'allonger sur sa serviette et ne rien faire, c'est pas profiter du temps qui passe, c'est le gâcher. Tu pourrais lire, écrire ou faire n'importe quoi d'intellectuellement actif!
Alors ouais, je me baigne avec une combinaison, ouais, je suis étendue sur ma serviette, recouverte de mon paréo, enduite de crème solaire et j'en suis fière!
Bien évidement, je suis au bord de la mer!
Et qui dit bord de la mer implique plage, et donc INSTANT PUTASSIER!
1. La plage c'est sympa, mais ce serait mieux s'il y avait moins de monde!
Expliquez moi pourquoi il y a autant de monde sur les plages de la côte d’azure! Non mais sans déconner! Galérer pendant 15 minutes pour trouver une place pour étendre sa serviette, c'est juste insupportable!
Mais ce n'est pas tant le monde qui est gênant, mais le fait d'être entouré de gens qui font du bruit, qui soulèvent du sable et qui ont l'air d'en vouloir personnellement à votre tranquillité.
En première place parmi les chiants: LES ENFANTS! Ouais, moi aussi j'ai fais des châteaux de sables quand j'étais toute petite (j'ai reconstitué Versailles et ses jardins avec mon frère) mais il ne me serait jamais venu à l'idée de jeter du sable autour de moi pour faire cher les gens autours!
2. A toi, jeune, qui t'endort au soleil dans ton maillot griffé et avec tes lunettes de soleils hors de prix, sache que "LE BRONZAGE, C'EST POUR LES PAYSANS!"
Non non, il n'y a rien de classe à revenir brun-cramé de tes vacances, car cela ne signifie pas "j'ai assez de thune pour partir au soleil" mais plutôt "quand j'aurais 40 ans, j'aurais un cancer de la peau!"
(Souvenez vous des siècles passés: les nobles cultivaient leur teint pale, signe qu'ils n'avaient pas à travailler au champs)
Non, s'allonger sur sa serviette et ne rien faire, c'est pas profiter du temps qui passe, c'est le gâcher. Tu pourrais lire, écrire ou faire n'importe quoi d'intellectuellement actif!
Alors ouais, je me baigne avec une combinaison, ouais, je suis étendue sur ma serviette, recouverte de mon paréo, enduite de crème solaire et j'en suis fière!
vendredi 12 août 2011
Je participe activement à la déforestation.
Son remplaçant est un moleskine. Je me suis dit que je pouvais bien me permettre de prendre un objet un peu plus raffiné pour contenir mes diverses inepties. J'ai donc acheté un beau calepin moleskine, avec des lignes (ça m'avait manqué chez son prédécesseur.) pour sa couverture façon cuir noir, pour sa pochette, pour son élastique. Je suis donc ressortie toute contente de ma papeterie favorite avec l'objet. Mais quelle n'a pas été ma déception quand j'ai lu "designed in Italy, manufactured in China"
Moleskine -1.
La prochaine fois je trouverais un calepin réalisé artisanalement et en France; Naméoh!
Jusqu'à présent j'utilisais un carnet monoprix
Alors j'ai investis dans un très beau carnet paperblank, à couverture rouge et or, avec une pochette pour stoker les cartes de visites. Une très belle œuvre d'art, avec plein de pages et et des lignes pour écrire droit, et proprement. J'aime beaucoup ce carnet, je peux y écrire tout mes renseignements utiles.
Alors, j'ai remplacé mon ancien bloc note monoprix par cette petite merveille
Par ailleurs, je suis quelqu'un d’extrêmement organisée (et de débordée), j'ai besoin de pouvoir tout écrire et tout voir d'un seul coup d'oeil, besoin de savoir quand j'ai du temps libre ou non, besoin de pouvoir, gérer mon boulot, mon association, mes potes, mes scouts, mes sorties, mes cours, mes occupations diverses et variées. On me reproche mon manque de spontanéité, mais cela me permet de rentabiliser au maximum mon temps et de l'utiliser au mieux. Vivre a 100 à l'heure implique d'être organiser!
J'ai donc investit dans un agenda week-per-week de chez Paperblank. Je l'ai acheté en même temps que mon carnet de note. J'avoue que j'ai été séduite par l'esthétique de l'objet. Il est pratique, vraiment bien fait, avec un affichage mois par mois et semaine par semaine. Il est très claire et le papier est très agréable. Exactement ce qu'il me fallait pour gérer mes différentes activités. Et le must: une pochette pour les flyers et mes places de concert.
Il y avait plusieurs visuels. J'ai pris celui ci:
j'ai besoin d'un agenda jour par jour pour mes devoirs. Naméoh!
dimanche 31 juillet 2011
Un espace à aménager
Non, je ne parlerais pas du web ni de ma vie virtuelle. En ce moment, je me préoccupe pas mal de ce qui se passe dans la dimension étrange et peu connue du monde réel.
La situation: Mes parents sont divorcés et après la vente de la maison familiale, j'ai emménagé chez ma mère puisque mon père lui n'était pas en mesure de nous accueillir. Cela fera 3 ans le 15 aout.
Cette situation n'était qu'un arrangement temporaire et mon père a acheté il y a peu un appartement dans lequel les meubles (actuellement stockés chez un garde-meuble) seront livrés mardi et dans lequel j'emménagerais officiellement en septembre.
Le petit détail à savoir c'est que j'ai toujours été passionnée par deux domaines en particuliers: le stylisme et l'architecture d'intérieure. C'est réellement ce que je souhaitais faire comme métier. Mais au gré de ma scolarité et à l'influence de mes parents, j'ai abandonné l'idée de faire une carrière dans ces deux branches professionnelles, mais sans pour autant cesser de m'intéresser aux domaines en eux même.
Ainsi, j'ai continué à dessiner et à réaliser des vêtements, et j'ai continuer à décorer mon environnement.
Donc, vous vous en doutez bien, chaque emménagement est une occasion rêvé pour moi de me faire plaisir à décorer tout ce qui m'entoure. Ainsi, quand j'avais pris possession de ma chambre chez ma mère (papier peint beige, frise beige et moquette beige), j'avais décidé que la couleur dominante serait le rouge et la couleur complémentaire le noir. Ainsi, j'ai fais l’acquisition de coussins rouges, de lampes et d'abat jours rouge et noir, de cadres noirs, de mobilier noir, etc etc.
Bref, le résultat est plutôt convainquant, du moins c'est ce que je pense, et je m'en satisfait très bien.
Mais au bout de trois ans, la lassitude me gagne déjà, alors l'emménagement dans l'appartement de mon autorité paternelle arrive à point nommé.
Ma chambre a des murs en papier peint jaune, un sol en vinyle bleu, des rideaux bleu et le plafond est blanc avec des étoiles dorées.
J'avoue que je trouve toujours ce genre de situation très stimulante: décorer un espace pour qu'il me ressemble, que je m'y sente chez moi, qu'il soit pratique, c'est une façon de créer une image de soit. c'est toujours intéressant. Tout en respectant la taille de la pièce, le budget, les objets déjà disponibles.
J'étais donc super enthousiaste aujourd’hui, à l'idée d'aller voir l'appartement, après que mon père y ait fait des travaux depuis 3 semaines (changements de papiers peints, installation de placards, peinture) et j'avoue que le résultat est vraiment génial!
Depuis quelques jours, je rassemblais quelques bibelots pouvant convenir à cette chambre, dont les thèmes seront le voyage et la rêverie.(éventails étranger, bateaux en bouteille, masques vénitiens,) allier à un mobilier ultra minimaliste: un sommier et un matelas pour mon lit et deux tréteaux et une planche pour mon bureau.
Le programme pour aujourd'hui était d'aller acheter ma frise, seulement elle n'était pas en magasin. mais le trajet n'a pas été fait en vain puisque j'en ai profité pour acheter des lampes.
Il n'y a aucun plafonnier dans l'appartement, il fallait donc que je trouve un lampadaire et une lampe de bureau.
Bon, mon père n'avait pas prévu que je tombe amoureuse de ça:
et que je décide que ce serait très bien dans ma chambre.pour contraster avec ma lampe de bureau ultra moderne en acier brossé. (qui ressemble à ça: )
Non, ça, mon père ne s'y attendait pas. Mais moi, je suis super contente. Le Lampadaire est dans ma chambre. Il y parait à la fois assorti et à la fois totalement improbable. mais c'est un mélange que j'aime bien. Un lampadaire à l'ancienne, avec des vitres colorées, comme le lampadaire de Narnia.
Bref, les meubles arrivent mardi, et je serais là pour participer à l'opération au côté de mon père. EN AVANT!
La situation: Mes parents sont divorcés et après la vente de la maison familiale, j'ai emménagé chez ma mère puisque mon père lui n'était pas en mesure de nous accueillir. Cela fera 3 ans le 15 aout.
Cette situation n'était qu'un arrangement temporaire et mon père a acheté il y a peu un appartement dans lequel les meubles (actuellement stockés chez un garde-meuble) seront livrés mardi et dans lequel j'emménagerais officiellement en septembre.
Le petit détail à savoir c'est que j'ai toujours été passionnée par deux domaines en particuliers: le stylisme et l'architecture d'intérieure. C'est réellement ce que je souhaitais faire comme métier. Mais au gré de ma scolarité et à l'influence de mes parents, j'ai abandonné l'idée de faire une carrière dans ces deux branches professionnelles, mais sans pour autant cesser de m'intéresser aux domaines en eux même.
Ainsi, j'ai continué à dessiner et à réaliser des vêtements, et j'ai continuer à décorer mon environnement.
Donc, vous vous en doutez bien, chaque emménagement est une occasion rêvé pour moi de me faire plaisir à décorer tout ce qui m'entoure. Ainsi, quand j'avais pris possession de ma chambre chez ma mère (papier peint beige, frise beige et moquette beige), j'avais décidé que la couleur dominante serait le rouge et la couleur complémentaire le noir. Ainsi, j'ai fais l’acquisition de coussins rouges, de lampes et d'abat jours rouge et noir, de cadres noirs, de mobilier noir, etc etc.
Bref, le résultat est plutôt convainquant, du moins c'est ce que je pense, et je m'en satisfait très bien.
Mais au bout de trois ans, la lassitude me gagne déjà, alors l'emménagement dans l'appartement de mon autorité paternelle arrive à point nommé.
Ma chambre a des murs en papier peint jaune, un sol en vinyle bleu, des rideaux bleu et le plafond est blanc avec des étoiles dorées.
J'avoue que je trouve toujours ce genre de situation très stimulante: décorer un espace pour qu'il me ressemble, que je m'y sente chez moi, qu'il soit pratique, c'est une façon de créer une image de soit. c'est toujours intéressant. Tout en respectant la taille de la pièce, le budget, les objets déjà disponibles.
J'étais donc super enthousiaste aujourd’hui, à l'idée d'aller voir l'appartement, après que mon père y ait fait des travaux depuis 3 semaines (changements de papiers peints, installation de placards, peinture) et j'avoue que le résultat est vraiment génial!
Depuis quelques jours, je rassemblais quelques bibelots pouvant convenir à cette chambre, dont les thèmes seront le voyage et la rêverie.(éventails étranger, bateaux en bouteille, masques vénitiens,) allier à un mobilier ultra minimaliste: un sommier et un matelas pour mon lit et deux tréteaux et une planche pour mon bureau.
Le programme pour aujourd'hui était d'aller acheter ma frise, seulement elle n'était pas en magasin. mais le trajet n'a pas été fait en vain puisque j'en ai profité pour acheter des lampes.
Il n'y a aucun plafonnier dans l'appartement, il fallait donc que je trouve un lampadaire et une lampe de bureau.
Bon, mon père n'avait pas prévu que je tombe amoureuse de ça:
et que je décide que ce serait très bien dans ma chambre.pour contraster avec ma lampe de bureau ultra moderne en acier brossé. (qui ressemble à ça: )
Non, ça, mon père ne s'y attendait pas. Mais moi, je suis super contente. Le Lampadaire est dans ma chambre. Il y parait à la fois assorti et à la fois totalement improbable. mais c'est un mélange que j'aime bien. Un lampadaire à l'ancienne, avec des vitres colorées, comme le lampadaire de Narnia.
Bref, les meubles arrivent mardi, et je serais là pour participer à l'opération au côté de mon père. EN AVANT!
lundi 11 juillet 2011
Mes cadeaux d’anniversaire, ou pourquoi la Fnac ne fera pas faillite cette année.
J’ai fêté cette année mes vingt ans (non, si vous avez oublié ou que vous n’étiez pas au courant ou que vous aviez piscine, ce n’est pas grave, je ne vous en veux pas)
Vingt ans, un âge important, et pour moi un cap assez particulier puisque en changeant de dizaine, c’est comme si enfin je pouvais regardé tout ce qui m’est arrivé dans la dizaine précédente, tout ranger dans un carton, le fermer, le ranger (l'envoyer sur Mars ou à Tombouktou) et passer à autre chose. Fermer définitivement un chapitre de ma vie.
Bref, là n’est pas le sujet.
Vingt ans, c’est aussi l’occasion de faire de grosses réunions de familles, de trop manger, de bien boire (mais toujours avec modération) et de recevoir pleins de cadeaux. (Je ne comprends personnellement pas le principe de faire des cadeaux aux anniversaires. Est-ce un moyen de rendre l’acceptation du vieillissement perpétuel moins difficile ? Je ne sais pas, mais il faudrait creuser la question. Si quelqu’un parmi vous étudie la socio ou l’anthropo, je veux bien une réponse)
Pour mon anniversaire j’ai donc eu, outre un super violon électrique trop de la mort qui tue que j’en suis super fière, un parfum et diverses objets en tout genre, j’ai aussi et SURTOUT eu une somme non négligeable en chèque FNAC. En même temps, c’est moi qui les avais demandés. (j'ai une carte d'adhérent FNAC à rentabiliser)
J’ai ainsi fait des sessions « dévalisons la FNAC dans la joie et la bonne humeur. »
La première session s’est faite avec Mr LB peu de temps après que j’ai reçu mes précieux chèques, et la deuxième session s’est faite il y a quelques jours à peine avec Zombie-Man.
En tout, c’est non moins de 37 ouvrages qui ont atterrit dans ma chambre (en deux fois heureusement, parce que le poids du savoir, ce n’est pas une blague !) dont:
_ 1000 years of annoying the French by Stephen Clarke
_ Le prince de Machiavel
_ L’art de la guerre de Sun Tsu
_ Histoires extraordinaires d’Edgar Allan Poe
_ Blanche neige et les lance-missiles de Catherine Dufour
_ L’enchanteur de Barjavel
_ Dehors les chiens, les infidèles de Maïa Mazaurette
_ Comptines assassines de Pierre Dubois
_ 1984 de George Orwell
_ Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
jeudi 23 juin 2011
Un peu de pub, ou pourquoi faut il soutenir le petit commerce.
Cet articles est dédicacé à Zombie Man et adressé à tout les gens qui lisent ces objets désuets et étranges qu'on appelle livres.
Le but de cet article est de faire de la publicité à une trouvaille de Zombie-Man que nous sommes allés tester ensemble. Il s'agit d'une librairie dénommée l'Antre-Monde.
Ces domaines: la littérature fantastique, la bit-lit, la science fiction, l'anticipation, un peu d’ésotérisme, et les art-books. (A noter qu'elle vend aussi des bijoux très intéressants et des objets sympathiques (mugs, carnets marque-pages)
J'avoue être une consommatrice de livres assez impitoyable. Non, que je sois difficile, mais je suis un juge assez stricte.
Je me fournis généralement à la Fnac, faute de mieux. J'y ai 5% et il y en a une pas loin de ma fac, ce qui le permet de me réapprovisionner dès que nécessaire. Mais la grande surface de la culture a souvent mis mes nerfs à vif: manque de vendeurs, incompétence des dits vendeurs, rayons en bordels. Ne serait ce que le simple fait de voir la science fiction, le fantastique et l'héroïque fantasy mélangés m'énerve. et non, l'anticipation, ce n'est pas tout à fait de la science fiction. c'est une sous partie qui mériterait d'être mise à part.
Vous comprenez donc que j'y vais plus par manque de concurence que par réel amour du logo jaune.
Ainsi, quand Zombie-Man m'a annoncé qu'il avait entendu parlé d'une librairie spécialisée dans mes genres préférés, il fut rapidement décidé qu'il était de notre devoir d'y aller.
La librairie est à deux pas du métro "Père Lachaise" à Paris, une petite pièce aux murs blancs, au parquet clair, et aux étagères rouges et noires couvertes de livres, la musique y est sympa, entre dark electo et musiques plus douces, la lumière n'est pas éblouissante, mais il fait assez clair pour lire sans s'abimer les yeux.
Ce n'est pas très grand (50m², comparé à la géante au logo jaune, c'est pas grand), mais assez tout de même pour que le choix y soit vraiment intéressant et varié. On y trouve des livres que l'on aurait pas trouvé ailleurs, de beau ouvrages en grand forma, des livres peu connus mais qui pourtant en vaudraient la peine, de grosses licences aussi (parce qu'il faut bien manger)
L'endroit est tenue par une jeune femme tout à fait géniale. Elle connait très bien son magasin (Beli:" 'scusez moi, je cherche tel livre." Libraire gentille *pointe du doigt une étagère*:troisième livre de la deuxième étagère en partant du haut" ) Elle a une culture littéraire vraiment impressionnante et elle est de très bon conseil.
L'endroit accueille des dédicaces, et en plus sert de soutient à l'art graphique non seulement en vendant des art-books mais aussi en servant de galerie d'exposition.
J'avoue que ça a été une super découverte!
Zombie-Man et moi même y sommes restés 2h45, à flâner, à voir notre pile de livres monter, regarder les bijoux. on y a tout les deux laissé une petite fortune.
Nous en avons profité (parce qu'il n'y avait que nous dans la boutique, pour discuter avec la Libraire-Gentille. Une jeune femme nommée Taly (j'espère ne pas écorcher son nom) qui a fait de belles études, a travaillé dans le géant culturel puis a réussi à ouvrir, il y a quelques mois à peine sa propre librairie. Un vrai parcourt du combattant racontait elle. Non, elle n'embauche pas (j'ai demandé) parce que pour ça il faudrait déjà qu'elle puisse s'offrir un salaire. Bref, une nana qui aime la lecture au point d'en avoir fait son métier.
Je me suis donc fait un devoir de prendre un tas de flyers pour les distribuer à tout les bibliophiles de ma connaissances pour permettre à cette jeune madame qui a beaucoup de goût et qui aime faire la promotion de petits artistes de continuer.
J'avoue que sur le plan éthique, je trouve ça bien plus intéressant d'aller faire ces courses là que dans un grand magasin où quelque soit la somme que tu dépenses, tu restes un inconnu. C'est anti-personnel et froid. Mais je trouve que c'est un nivellement par le bas de la diversité culturelle: on met tout au même endroit sans vraiment savoir de quoi on parle parce que de toute façon ça se vent. A l'Antre-Monde, j'ai eu plaisir à discuter avec la propriétaire, à parler littérature, à accrocher mon petit badge Lasombra sur sa peluche loup pour être sur sa page Facebook. Bref, une boutique comme ça est un moyen de permettre de faire connaître de petits auteurs qui se seraient noyés dans la masse de la Fnac, de permettre de découvrir de beaux livres et pas seulement des livres qui se vendent bien.
Voilà, c'est ma petite pub du moment. je vous invite sincèrement à aller y jeter un coup d'oeil, et à prendre le temps de discuter avec Taly, vous verrez que vous profiterez bien plus de vos recherches de combustible littéraire.
Le but de cet article est de faire de la publicité à une trouvaille de Zombie-Man que nous sommes allés tester ensemble. Il s'agit d'une librairie dénommée l'Antre-Monde.
Ces domaines: la littérature fantastique, la bit-lit, la science fiction, l'anticipation, un peu d’ésotérisme, et les art-books. (A noter qu'elle vend aussi des bijoux très intéressants et des objets sympathiques (mugs, carnets marque-pages)
J'avoue être une consommatrice de livres assez impitoyable. Non, que je sois difficile, mais je suis un juge assez stricte.
Je me fournis généralement à la Fnac, faute de mieux. J'y ai 5% et il y en a une pas loin de ma fac, ce qui le permet de me réapprovisionner dès que nécessaire. Mais la grande surface de la culture a souvent mis mes nerfs à vif: manque de vendeurs, incompétence des dits vendeurs, rayons en bordels. Ne serait ce que le simple fait de voir la science fiction, le fantastique et l'héroïque fantasy mélangés m'énerve. et non, l'anticipation, ce n'est pas tout à fait de la science fiction. c'est une sous partie qui mériterait d'être mise à part.
Vous comprenez donc que j'y vais plus par manque de concurence que par réel amour du logo jaune.
Ainsi, quand Zombie-Man m'a annoncé qu'il avait entendu parlé d'une librairie spécialisée dans mes genres préférés, il fut rapidement décidé qu'il était de notre devoir d'y aller.
La librairie est à deux pas du métro "Père Lachaise" à Paris, une petite pièce aux murs blancs, au parquet clair, et aux étagères rouges et noires couvertes de livres, la musique y est sympa, entre dark electo et musiques plus douces, la lumière n'est pas éblouissante, mais il fait assez clair pour lire sans s'abimer les yeux.
Ce n'est pas très grand (50m², comparé à la géante au logo jaune, c'est pas grand), mais assez tout de même pour que le choix y soit vraiment intéressant et varié. On y trouve des livres que l'on aurait pas trouvé ailleurs, de beau ouvrages en grand forma, des livres peu connus mais qui pourtant en vaudraient la peine, de grosses licences aussi (parce qu'il faut bien manger)
L'endroit est tenue par une jeune femme tout à fait géniale. Elle connait très bien son magasin (Beli:" 'scusez moi, je cherche tel livre." Libraire gentille *pointe du doigt une étagère*:troisième livre de la deuxième étagère en partant du haut" ) Elle a une culture littéraire vraiment impressionnante et elle est de très bon conseil.
L'endroit accueille des dédicaces, et en plus sert de soutient à l'art graphique non seulement en vendant des art-books mais aussi en servant de galerie d'exposition.
J'avoue que ça a été une super découverte!
Zombie-Man et moi même y sommes restés 2h45, à flâner, à voir notre pile de livres monter, regarder les bijoux. on y a tout les deux laissé une petite fortune.
Nous en avons profité (parce qu'il n'y avait que nous dans la boutique, pour discuter avec la Libraire-Gentille. Une jeune femme nommée Taly (j'espère ne pas écorcher son nom) qui a fait de belles études, a travaillé dans le géant culturel puis a réussi à ouvrir, il y a quelques mois à peine sa propre librairie. Un vrai parcourt du combattant racontait elle. Non, elle n'embauche pas (j'ai demandé) parce que pour ça il faudrait déjà qu'elle puisse s'offrir un salaire. Bref, une nana qui aime la lecture au point d'en avoir fait son métier.
Je me suis donc fait un devoir de prendre un tas de flyers pour les distribuer à tout les bibliophiles de ma connaissances pour permettre à cette jeune madame qui a beaucoup de goût et qui aime faire la promotion de petits artistes de continuer.
J'avoue que sur le plan éthique, je trouve ça bien plus intéressant d'aller faire ces courses là que dans un grand magasin où quelque soit la somme que tu dépenses, tu restes un inconnu. C'est anti-personnel et froid. Mais je trouve que c'est un nivellement par le bas de la diversité culturelle: on met tout au même endroit sans vraiment savoir de quoi on parle parce que de toute façon ça se vent. A l'Antre-Monde, j'ai eu plaisir à discuter avec la propriétaire, à parler littérature, à accrocher mon petit badge Lasombra sur sa peluche loup pour être sur sa page Facebook. Bref, une boutique comme ça est un moyen de permettre de faire connaître de petits auteurs qui se seraient noyés dans la masse de la Fnac, de permettre de découvrir de beaux livres et pas seulement des livres qui se vendent bien.
Voilà, c'est ma petite pub du moment. je vous invite sincèrement à aller y jeter un coup d'oeil, et à prendre le temps de discuter avec Taly, vous verrez que vous profiterez bien plus de vos recherches de combustible littéraire.

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