Pages

mercredi 6 avril 2016

Travelling through Korea

I am in a train in Korean, going from Seoul to Daegu. We didn’t take the high speed train, so it’s a 4 hours trip.
I love train. Especially when I sit next to the window. I read, I write, I sleep, or I just watch the landscape evolve. Here in Korea, looking at the countryside, discovering what Korea looks like outside Seoul is a great experience.
It’s the Cherry blossom season which means than every now and then there is a gorgeous tree, or an entire alley, covered with small pale pink flower. It’s really beautiful.
It is quite obvious that the country has been ravaged by the war. None of the villages or small towns I have seen have more than fifty years. There are some older buildings but they are very rare.
There are many industrial complexes, but smaller than the huge ones I was used to in France and Europe. Most of all, I have seen an agricultural country. A very different one that what there is in France: No great fields that go as far as one can see. Here, it’s mostly composed by small fields that follow the details of the landscape. Fields that have the shape of the small valley between two hills or fields on terrace on the sides of those. Lots of orchards too.
I like this place. I really don’t regret coming here.



Je suis dans un train en Corée qui va de Seoul a Daegu. Nous n’avons pas pris le train a grande vitesse, du coup c’est un trajet de 4 heures. C’est pas plus mal.
J’aime bien voyager en train. Particulièrement si j’ai un siege cote fenêtre. Je lis, j’
écris, je dors ou je regarde simplement le paysage évoluer de l’autre cote de la vitre. Ici en Corée, pouvoir traverser le pays en train est une super experience : voir comment la titanesque ville de Séoul évolue doucement vers la campagne.
C’est la saison des cerisiers en fleur, ce qui signifie qu’a intervalle irréguliers mais plutôt rapprocher, je vois un arbre ou une allée entière d’arbres couverts de petites fleurs rose pale. C’est vraiment joli.
Il est assez evident que le pays a été ravage par la guerre. Aucun des villages que nous traversons n’a l’air d’avoir plus de cinquante ans. Il y a bien un temple ou un bâtiment un peu plus anciens, mais ils sont rares.
Il y a des pas mal de complexes industriels, mais ils ont plus petits que ceux auxquels je suis habituée en France ou en Europe.
Mais surtout, il y a beaucoup de champs. Pas d’immenses étendues a perte de vue, mais de plus petites surfaces qui s’adaptent au details du paysages : un petit champs coince entre deux collines ou des cultures en terraces sur les flancs des dites collines. Beaucoup de vergers également.
J’aime vraiment cet endroit. Je ne regrette pas d’être venue. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire